Figure de proue du mouvement techno au Portugal, l’aura de Diana Oliveira n’en finit plus de grandir.
DJ et productrice émergente, cette étudiante en social media écrit aujourd’hui des lignes de groove plus sinueuses que celles que des salles de rédaction et autres agences. Son acid techno captive, emmène l’oreille dans les profondeurs d’un univers sombre et infini où le break se fait roi, la ligne, courbe et le beat, hypnotique. Sa musique mi-indus mi-atmosphérique a un pied dans la techno originelle de Détroit, un autre dans le futur, l’inconnu, là où tout se crée et où tout se fait sensation. Ses beats sont construits, efficaces.
Qu’elle joue à la tête du collectif underground RDZ ou en tant que DJ résidente de l’Indústria Club à Porto, Diana Oliveira mixe avec passion et générosité. Sa techno house commence à se déployer dans des festivals de référence, tels que le Neopop Electronic Music Festival ou l’Elétrico où son nom s’affiche aux côtés du musicien et producteur britannique Floating Points.